Reportage "en immersion chez les pom-pom girls des équipes de la MLF Cup"
Pom-Poms
Tous les matchs de la MLF CUP ne peuvent garantir certains petits plaisirs propres à ce magnifique jeu qu’est le Blood Bowl, comme par exemple, le regard surpris d’un gobelin assistant à sa propre dislocation pour avoir voulu charger un minotaure frénétique, ou encore la longue bombe d’un maître artificier elfe conclue par un Touchdown impossible. Lorsque le spectacle est aux abonnés absents, chaque équipe, soucieuse de ne point subir le courroux de ses supporters ou craignant le sacro-saint RVBI (Rocher volant bien identifié) fait intervenir ses pom-poms.
Mais qui sont-elles ? (ou ils, même si chez les elfes on ne parvient jamais réellement à discerner mâles et femelles), d’où viennent-elles ? Comment devient-on Pom-poms ? Et bien voici déjà quelques éléments de réponses.
Nous avons rencontré Pépite-A, la meneuse de la troupe des Naines « pas beau » du chaos , pom-poms attitrée de l’équipe des Nains du chaos d’Ici qui évoluent en conférence Sud. Si elle avoue avoir embrassé cette carrière suite à un coup de piston du coach « Sam » (au propre comme au figuré), elle déclare aussi prendre un immense plaisir à encourager ses nains préférés. A demi-mots elle confie également que ses collègues pom-poms connaissent - je cite - «en profondeur» les membres de l’équipe. Aucun nom ne filtrera mais elle laissera entendre que lors des 3èmes mi-temps, les barbes se mélangent allègrement... Le non-initié à la culture des nains du chaos ignore certainement que les naines les plus belles sont les naines barbues !
Pom-Pompidou, la divine danseuse des « urban pom légends » a bien voulu nous en dire plus sur sa formation de pom-pom. «Au début, on apprend les pas de danses et les acrobaties, évidemment les blessures sont nombreuses. Par exemple c’est lors d’une session Oula-oup, qu’une aspirante pom-pom voulant conclure en roulé-boulé arrière, termina dans les bras d’un ogre qui souhaitait intégrer les « urban légends slasher ». La pauvre, pour s’excuser lui délivra un bisou sur le nez. Touché l’ogre lui rendit la pareille mais lorsqu’il retira ses lèvres, elle s’était faît dévoré la moitié du visage. Recalée... Le monde des pom-poms est impitoyable. Il y a aussi l’apprentissage des chants, le fameux Ho-Hisse Enc... scandé à chaque coup d’envoi, le célèbre «Aux armes, nous sommes les légends slasher...» ou encore le toujours efficace «Pow-pow-pow-pow-pow-pow... POW». Même si c’est difficile de retenir tant de paroles, elle concède que ce n’est rien comparé à ce que subissent les joueurs et cette saison, les Urban legends slasher mangent grâve !»
Il est à noter que parfois les Pom-poms sont à l’origine de mouvements artistiques. Chez les orcs, la new waaagh, initiée par les Orcland Reavers est désormais devenue un courant musical à part entière repris invariablement lors des matchs orcs.
Voilà vous savez tout ! Un coup de piston bien placé, des entraînements sanglants, des chants difficiles à retenir, c’est ça être pom-poms!
Pom-Poms
Tous les matchs de la MLF CUP ne peuvent garantir certains petits plaisirs propres à ce magnifique jeu qu’est le Blood Bowl, comme par exemple, le regard surpris d’un gobelin assistant à sa propre dislocation pour avoir voulu charger un minotaure frénétique, ou encore la longue bombe d’un maître artificier elfe conclue par un Touchdown impossible. Lorsque le spectacle est aux abonnés absents, chaque équipe, soucieuse de ne point subir le courroux de ses supporters ou craignant le sacro-saint RVBI (Rocher volant bien identifié) fait intervenir ses pom-poms.
Mais qui sont-elles ? (ou ils, même si chez les elfes on ne parvient jamais réellement à discerner mâles et femelles), d’où viennent-elles ? Comment devient-on Pom-poms ? Et bien voici déjà quelques éléments de réponses.
Nous avons rencontré Pépite-A, la meneuse de la troupe des Naines « pas beau » du chaos , pom-poms attitrée de l’équipe des Nains du chaos d’Ici qui évoluent en conférence Sud. Si elle avoue avoir embrassé cette carrière suite à un coup de piston du coach « Sam » (au propre comme au figuré), elle déclare aussi prendre un immense plaisir à encourager ses nains préférés. A demi-mots elle confie également que ses collègues pom-poms connaissent - je cite - «en profondeur» les membres de l’équipe. Aucun nom ne filtrera mais elle laissera entendre que lors des 3èmes mi-temps, les barbes se mélangent allègrement... Le non-initié à la culture des nains du chaos ignore certainement que les naines les plus belles sont les naines barbues !
Pom-Pompidou, la divine danseuse des « urban pom légends » a bien voulu nous en dire plus sur sa formation de pom-pom. «Au début, on apprend les pas de danses et les acrobaties, évidemment les blessures sont nombreuses. Par exemple c’est lors d’une session Oula-oup, qu’une aspirante pom-pom voulant conclure en roulé-boulé arrière, termina dans les bras d’un ogre qui souhaitait intégrer les « urban légends slasher ». La pauvre, pour s’excuser lui délivra un bisou sur le nez. Touché l’ogre lui rendit la pareille mais lorsqu’il retira ses lèvres, elle s’était faît dévoré la moitié du visage. Recalée... Le monde des pom-poms est impitoyable. Il y a aussi l’apprentissage des chants, le fameux Ho-Hisse Enc... scandé à chaque coup d’envoi, le célèbre «Aux armes, nous sommes les légends slasher...» ou encore le toujours efficace «Pow-pow-pow-pow-pow-pow... POW». Même si c’est difficile de retenir tant de paroles, elle concède que ce n’est rien comparé à ce que subissent les joueurs et cette saison, les Urban legends slasher mangent grâve !»
Il est à noter que parfois les Pom-poms sont à l’origine de mouvements artistiques. Chez les orcs, la new waaagh, initiée par les Orcland Reavers est désormais devenue un courant musical à part entière repris invariablement lors des matchs orcs.
Voilà vous savez tout ! Un coup de piston bien placé, des entraînements sanglants, des chants difficiles à retenir, c’est ça être pom-poms!
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