Recrutement pour la saison 2013 - 2014

Amis sportifs bonjour,

Une fois encore la MLF et la section Blood Bowl vis-à-vis lancent un appel pour les coachs du Nord et de la Métropole lilloise.
Nous ouvrons les inscriptions pour la MLF Cup saison 2013 -2014...
L'inscription sera à faire sur le forum http://les-marie-louises.forumsactifs.net/c9-blood-bowl
ou vous pouvez me joindre sur bloodmoute@hotmail.fr

A bientôt j'espère...

vendredi 8 octobre 2010

l'histoire du blood bowl

oui j'ai copié//collé le BS

Le saviez vous?

Au commencement...

Tout a commencé il y a longtemps, bien longtemps sur un ancien champ de bataille, quelque part dans le Vieux Monde. La bataille se termina dans un horrible bain de sang et les deux camps s'effondrèrent sur le terrain gorgé de sang, sous le vol des vautours. La capricieuse Dame Victoire restait insaisissable pour quiconque. L'épuisemenent mutuel conduit à une trève durant laquelle les chefs des deux camps tentèrent de parlementer.
Pendant que leurs chefs discutaient les soldats s'écroulèrent sur place, profitant du répit qui interrompait le carnage. Mungk, le chef d'une petite bande d'orques était assis à côté de son premier sergent et se livrait à son passe-temps favori, l'exhumation de crottes de nez. Après avoir remporté cette épreuve passionnante gràce à une manoeuvre adroite partant du haut vers le bas, Mungk expédia d'une pichenette la petite boule verdatre au loin. L'orque se dressa, se demandant quand ces vaines palabres prendraient fin afin de pouvoir retourner se marrer et massacrer consciencieusement. Il observa le champ de bataille, souriant béatement à la vue d'une pile de cadavres nains. Ils avaient été tués dans une petite dépression en forme de bol. A l'extrémité sud de ce lieu, se tenait un étrange dôme d'argent, sans doute une autre de ces anciennes constructions. C'était contre ce dôme que Mungk reposait sa tête à cet instant.
Agacé de n'avoir que ses dents à sucer et poussé par un fort grondement de son ventre, il commença à gratter le sol détrempé dans l'espoir d'y trouver un ou deux vers de terre bien juteux à grignoter. Ses griffes émoussées par la bataille heurtèrent quelquechose de dur et lisse. Il tira, mais en vain, Il gratta : rien ne se passa. Puis il poussa. Quelquechose s'enfonça, quelque chose d'autre cliqua et un troisième quelque chose fit entendre un puissant sifflement. Ce troisième quelque chose était la paroi d'un antique bâtiment qui glissa vers le haut, laissant s'échapper de l'intérieur obscur un air sec et vicié.
Mungk, qui aurait eu de sérieux problèmes avec la lingère s'il avait porté une forme quelconque de sous-vêtements, regarda avec des yeux ronds le hall brillant qui était maintenant visible à l'intérieur du dôme. D'étranges armures en décoraient les murs, de bizarres mosaïques en recouvraient le sol et en son milieu, posé sur un immense piédestal, se tenait un énorme livre...
Les chefs des armées, à l'annonce de l'étrange découverte de l'orque, ajournèrent leurs négociations pour ce nouveau mystère. Comme aucun des deux généraux ne savait lire, ils furent incapables de déterminer autre chose que le fait que le bâtiment était un temple antique. Des messagers furent envoyés d'urgence à la recherche d'érudits capables de déchiffrer les secrets que recelait le dôme. Finalement un nain à moitié aveugle fut amené et présenté comme étant expert dans toutes les langues du monde, vivantes ou mortes. Le livre posé sous son nez constellé de verrues, le nain s'assit par terre, les jambes croisées et se plongea dans la lecture du mystérieux grimoire.
Trois jours passèrent durant lequels le nain bougea à peine de son emplacement. Enfin, il s'apprêta à faire son rapport. Un podium fut dressé à la hâte devant le temple d'argent et l'individu rabougri y fut hissé pour annoncer ses découvertes à la foule assemblée devant lui.
"Ce livre", chevrota l'antique prophète en clignant des yeux, "semble être le texte religieux d'un groupe de guerriers qui venaient d'une terre appelée Amorique. Il est dédié au dieu perdu Enéfel. Les grands prêtres des diverses sectes de cette divinité, connus sous le nom de Coaches, menaient leurs bandes de guerriers dans de grandes arènes et tentaient de s'exterminer. Cependant le but n'était pas la violence pour la violence. Non ! En vérité, il y avait une grande signification rituelle !"
Il y eut un murmure alors que la foule tentait d'imaginer un concept aussi étranger. Le nain pousuivit : "Une vessie de cochon était gonflée et amenée ou lancée d'un bout à l'autre de l'arène, dans le but de, heu... marquer. Réussir à déposer la vessie au delà de la dernière ligne ennemie donnait à la secte un certain nombre de choses appelées points. A la fin, la secte qui avait le plus de points avait gagné. Apparemment, il n'y avait pas besoin de massacrer tous les adversaires, bien que les coaches semblent avoir encouragé cette pratique. Le livre indique que le chiffre sacré de Enéfel était onze, et que donc seuls onze guerriers de chaque camp étaient autorisés sur le champ de bataille en même temps".
A cette annonce, il y eut un grand mouvement dans les rangs gobelins, quand ceux-ci enlevèrent leurs brodequins dans une tentative déseepérée de réaliser ce qu'était le nombre onze. Comme de coutume, cela dégénéra en bagarre après qu'un gob eu découvert quelle bonne blague cela pouvait être que de garder ses bottes ferrées pour mieux marcher sur le pieds nus de ses copains. Ignorant les fréquents hurlement de douleur, le nain poursuivit.
"Ceci ne veut pas dire qu'une secte, ou équipe comme elles étaient appelées, ne comptait que onze membres. Les guerriers pouvaient entrer ou sortir à volonté aussi longtemps que le chiffre sacré n'était pas dépassé. Il était également permis de frapper ses adversaires à tout moment, à condition que ce ne fut point avec une arme ! Enéfel affirmait que le corps d'un guerrier devait être sa seule arme et, bien qu'il acceptât les armures, que toutes les armes devaient être interdites. Il est écrit que l'arène dans laquelle se déroulaient ces conflits était un terrain rectangulaire, à l'intérieur d'un immense bol !"
Tous les yeux se tournèrent et observèrent la forme du champ sur lequel ils s'étaient rassemblés, et où d'imposantes escadrilles de vautours au ventre plein tentaient péniblement de reprendre l'air.
"Il me semble", continua le nain d'une voix forte pour regagner l'attention du public, "qu'Enéfel a vu notre dilemme et tente de le résoudre. je suggère que chaque camp forme une équipe et que nos problèmes soient ainsi résolus". Un murmure d'approbation parcourut la foule et devint rapidement un tonnerre d'exclamation. A l'exception, bien sûr, de l'endroit où se tenaient les gobelins, qui en étaient encore à expérimenter les nouvelles et passionnantes possibilités de l'activité consistant à s'écraser les pieds !
Ainsi eu lieu le premier match de ce qui devint rapidement connu sous le nom de Football Amoricain d'Enéfel. Une vessie de cochon fut gonflée, à la grande consternation de ce dernier. les armures du temple furent récupérées et distribuées aux guerriers choisis par les deux camps. Les équipes s'alignèrent, un chamane "arbitre" revêtu pour l'occasion d'une peau de zèbre fraîchement dépecé, souffla dans un cor de guerre et la partie commença.
Il n'y avait pas à proprement parler de terrain, pas de lignes, très peu de règles et à ce jour personne ne se rappelle qui a gagné. Cependant, il y a eu une bonne dose de carnage et tout le monde reconnut qu'on avait bien rigolé. La bataille fut oubliée et les armées se séparèrent pour annoncer cette nouvelle excitante à leurs pays respectifs, où chaque tribu s'empressa d'aligner une équipe.
Pendant ce temps, ceux qui étaient restés pour nettoyer découvrirent une étrange surface verte sous la boue sanglante du champ de bataille : une surface présentant des symboles et des lignes étranges. Enfin le terrain sacré dont le Livre parlait fut mis à jour. Le prophète nain, qui avait adopté le nom de Commissaire Sacré Roze-El d'après le nom d'un prêtre de haut rang mentionné dans le Livre, offrit une prière à Enéfel et entreprit d'organiser la première rencontre entre sectes. Son esprit bouillonnait de plans pour l'avenir, plans qui culmineraient dans des rencontres officielles entre les sectes les plus coriaces, en des offrandes en l'honneur du grand dieu, le Blood Bowl !

Les récents développements

Durant sa carrière, Roze-El s'attacha à décrypter les rites en l'honneur de Enefel. Il fouilla pour cela le site sacré et découvrit des piles de parchemins remarquablement conservés. Il engagea une armée de scribes qui recopièrent le contenu des parchemins structurant ainsi petit à petit la pratique du Blood Bowl. Lorsqu'il mourut à l'age canonique de 196 ans, Roze-El laissa derrière lui 16 équipes issues de tout le Vieux Monde et s'affrontant au sein d'un championnat culminant lors de la finale : le Blood Bowl ! Le tout encadré par une fédération : la NAF.
Néanmoins, le tableau n'était pas aussi idylique que cela ! Le temps passant, les équipes du Vieux et du Nouveau Monde développèrent constamment des styles de jeu de plus en plus distincts, situation qui culmina en 2399 par un véritable drame lors d'une rencontre entre les Dwarfs Giants et les Reikland Reavers. Ce jour là les deux équipes furent incapables de choisir les règles à appliquer ce qui engendra une interminable bataille à grande échelle. La NAF trouva la solution en 2409 en créant deux divisions distinctes : la NFC (Nouveau monde Football Conférence) et de l'AFC (Ancien monde Football Conférence). Ce système à 2 conférences fut ratifié en 2432 permettant ainsi aux vainqueurs de chaque conférence de s'affronter lors d'une grande finale renommée pour l'occasion Trophée Blood Bowl.
C'est l'arrivée du sponsor, la bière Bloodweiser, qui permit au Trophée Blood Bowl de devenir le match de renom que nous connaissons aujourd'hui.
A Roze-El succedèrent Djimm Thorp puis Jorge Hellhound.
Hellound se fit connaître notamment pour une innovation majeure. Il fut le premier à réaliser qu'il était possible de vendre plus de tickets que de place disponibles dans le stade. Il contacta les guildes de magiciens afin qu'elles trouvent un moyen de relayer les images de la rencontre en dehors de l'enceinte sportive. Le résultat fut l'invention d'un étrange objet appelé « Camra », une espèce de boite renfermant un esprit que l'on oblige à regarder dans une seul direction (généralement le stade !) et dont des armadas de magiciens transmettent les images mentales grace au sort vision cabalistique. La Cabalvision était née ! Et avec elles les premières chaines de Cabalvision : la Necromancer's Brodcasting Circle (NBC), la Crystal Ball Service (CBS) et l'Association of Broadcasting Conjurers (ABC).

Grandeur et décadence

Vint ensuite, sous le règne du commissaire Nick Three Horn le faste des années 80...
Le site sacré découvert par Mungk devint la Mecque des fans du Blood Bowl tandis que la NAF déménageait dans un nouveau et prestigieux quartier général. Deux ans plus tard furent construits le Musée du Blood Bowl et son « Hall of Fame ».
Le championnat était rodé et remarquablement organisé. La ligue principale comptait 30 équipes réparties en 2 conférences, elles structurées en divisions de 5 équipes chacune et tous se disputaient le Trophée Blood Bowl. Les deux conférences étaient soutenues par une myriade d'équipes mineures avec leurs propres ligues locales et championnats inter-guildes. Depuis son immense bureau au QG de la NAF, Nick Three Horn imposait sa vision du Blood Bowl dans toutes les terres connues.
C'est alors que survint le Grand Désastre ! La saison '88-'89 connut un succès totalement incroyable. De colossales sommes d'argent rentrèrent dans les caisses de la fédération. Et la tentation fut trop grande... Alors que se préparait le Blood Bowl XXIX entre les Darkside Cowboys et les Reikland Reavers, Nick Three Horn, la totalité des caisses de la NAF et une bonne partie des Cheerleaders des Cowboys s'envolèrent pour ne plus jamais être revus ! Ce qu'il advint de Three Horn, personne ne le sait même si des rumeurs persistantes le disent caché dans une forteresse secrète dans les World Edge Mountains.
A partir de là, la NAF sombra dans le chaos. La fin de saison fut agitée par une succession de commissaires candidats à la succession de Three Horn, tous plus incompétents et corrompus les uns que les autres. Le début de la saison '89-'90 fut un fiasco et avant même le terme du championnat la NAF fut déclarée en faillite.

Chaos et Confusion

Conséquence de la disparition de la NAF, la plupart des équipes furent livrées à elle-mêmes. Dans la mesure où bon nombre d'entre elles était dirigé par des coaches forts peu qualifiés en matière comptable, c'est sans surprise que la plupart firent faillite.
Les propriétaires furent dans l'obligation de vendre leur stade tandis que les équipes encore constituées partirent sur les routes jouer des matches exhibitions n'importe où contre n'importe qui...
Pendant ce temps là, les grands réseaux de cabalvision désespéraient de voir les audiences des retransmissions chuter de manière abyssale. Sans l'excitation des phases finales et le grand show du Blood Bowl, les fans se tournèrent vers d'autres spectacles sanglants.
Le renouveau vint d'une idée géniale attribuée conjointement au réseau de cabalvision NBC et au sponsor Orcidas. Ces derniers imaginèrent une formule facile à gérer pour relancer la Chaos Cup : il suffisait de mettre en place un tournoi ouvert à toutes les équipes, limité dans le temps et en deux phases. Pendant 3 semaines, toutes les équipes eurent carte blanche pour jouer contre n'importe quelle autre équipe inscrite au tournoi avec comme seule limitation de ne pas rencontrer deux fois la même équipe durant la compétition. A l'issu des ces 3 semaines (complètement bordéliques soit dit en passant !), les organisateurs furent en mesure de qualifier pour la phase finale les 4 équipes ayant comptabilisé le plus de victoires durant la phase préliminaire. Le tournoi connut un succès retentissant. Le nombre de matches organisés fut incroyable et les fans retrouvèrent le chemin des stades. Pour la petite histoire l'édition 2490 consacra l'équipe des Marauders à qui le sponsor eut le plaisir de remettre une généreuse prime de match qui réveilla à nouveau l'appétit de touts les propriétaires et coaches du vieux monde !
Le principe des tournoi ouverts était né !
Dans la foulée, en 2493, ABC et la Bière Bloodweiser lancèrent la nouvelle formule du Trophée Blood Bowl. S'en suivirent la réapparition du Dungeonbowl et du Trophée Epique. Avant même la fin de la saison '91, pratiquement toutes les compétitions locales et régionales adoptèrent le format du tournoi ouvert.

Blood Bowl aujourd'hui.

Le Blood Bowl d'aujourd'hui est très différente du jeu hautement structuré et organisé géré par la NAF jusqu'en 2488. Maintenant, de nombreuses équipes parcourent les routes en quête de matches à jouer de ville en ville. Rares sont les équipes à être propriétaires de leur stade. L'organisation d'un match et l'arrivée des deux équipes dans une cité génère une euphorie et une ambiance de carnaval.
La structuration du jeu autour des 4 tournois majeurs et d'une multitude de tournois locaux a permis de relancer la machine sportive au grand bonheur de la Cabalvision et des sponsors. Pratiquement toutes les races se sont mises à rejouer, les races habituelles comme les humains, elfes, nains, orcs, halfings ou trolls mais aussi des races beaucoup plus exotiques. On dit même dans les milieux autorisés que le jeu se serait développé dans les plans astraux et démoniaques. A quand la première compétition organisée dans les plans inférieurs ?
Face à un tel engouement, la NAF s'est reformé en 2502 avec à sa tête un nouveau commissaire sacré, Jonathan ''Kripler'' Louis III. Sa principale mission est de superviser les tournois majeurs et de calculer les classements de l'ensemble des compétitions. Soucieuse d'éviter une nouvelle crise liée aux millions de couronnes d'or que déversent la cabalvision dans ses caisses, la NAF a mise en place un système d'élection de son commissaire.
Depuis sa nomination, Jonathan ''Kripler'' Louis III a mis en place une innovation majeure : le principe des tournois mineurs qualificatifs aux 4 tournois majeurs. Désormais, sans pour autant s'astreindre à un système lourd comme dans le passé, la NAF a réussi à lier la majorité des tournois organisés dans le vieux monde, créant ainsi une dynamique de jeu très profitable pour tout le monde.

1 commentaire:

  1. j'espère que monsieur le commissaire de ligue saura se souvenir du service rendu

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